La journée a passé, le temps s’est écoulé. Heure après heure, le soir est arrivé. Il ne reste plus beaucoup de temps avant le couchant. C’est donc le moment ultime pour penser tout ce qui doit être pensé, pour dire tout ce qui doit être dit…. Il faut boucler sa journée comme on boucle sa valise, prêt à partir pour le grand voyage. Encore un peu de temps et le jour s'en ira .... C'est l'heure bleue. Le mouvement du monde se calme, le soleil se cache. Je partirai avec le couchant.

lundi 21 mai 2012

Lutter contre l'homophobie

Une seule solution : légaliser le mariage et l’adoption homosexuelles.
Le gouvernement Ayrault, en confirmant son intention de procéder à ses deux réformes lors de la Journée Mondiale contre l’Homophobie, n’a pas tardé à poser le débat sur les bases biaisées et convenues que l’on pouvait attendre.

Poser le débat, c’est au demeurant une expression impropre : débat-on seulement de la haine et de la phobie ?
Reprenons, donc : le gouvernement Ayrault n’a pas tardé à interdire le débat.
Il aurait eu tort de s’en priver : cela fonctionne déjà très bien sans lui.
Pour avoir seulement évoqué les mobilisations d’ores et déjà en cours et celles à venir, j’ai écopé des anathèmes prévisibles : identitaire, homophobe etc.

lundi 14 mai 2012

Le gentil et le méchant


J'aime bien l'article de Yves Ponroy qui décante le comportement des citoyens face aux élections. Il donne quelques éléments de réflexion plutôt bienvenus et je suis assez d'accord avec lui quant à son raisonnement....
" La politique électorale est un spectacle populaire. L’intrigue doit être simple, il y a les bons et les méchants, comme dans un western ou comme au théâtre de marionnettes. C’est toujours le gentil qui gagne et le méchant qui reçoit les coups de bâtons !…
Le divertissement populaire, le spectacle du cirque ou du stade, ne sont pas faits pour penser mais pour nous donner des émotions. Tout bon tribun sait que l’on entraîne les foules avec des émotions et non pas avec des réflexions. Les idées doivent être simples et, si possible, se réduire à des slogans simplistes.

mercredi 9 mai 2012

Petite histoire pour (sou)rire

Nicolas Sarkozy, Queen Elizabeth, et Vladimir Poutine meurent en même temps et se retrouvent en enfer. A leur arrivée, ils repèrent un étrange téléphone et immédiatement demandent quelle en est l’utilité.
Le diable leur dit qu’il peut être utilisé pour appeler la terre dans des circonstances exceptionnelles.
Considérant tous les trois que les circonstances sont exceptionnelles car ils n’ont pas eu le temps de régler tous leurs problèmes, ils décident de demander s’ils peuvent s’en servir.

Le changement...

Et pour changer, ça va changer !!
Et rassurez-vous ! Au milieu de ce décompte de drapeaux algériens, marocains, tunisiens, palestiniens, maliens, guinéens, libanais, argentins dimanche, place de la bastille, il y a même, au milieu des drapeaux de la communauté homosexuelle, presque incongrus, quelques drapeaux français !!.

dimanche 6 mai 2012

A voté ! Poil au nez...

Le nom du nouvel usurpateur est connu !
La moitié de la France explose de joie tandis que l'autre moitié s'étrangle en pleurant...
Les uns se congratulent en criant que le bonheur, enfin, se pointe sur terre ; les autres prédisent le pire des avenirs....
Qu'en est il en vérité ?

En vérité, Carlyle, Dassault, les lobbys prétroliers, pharmaceutiques ou agro-alimentaires, pour ne citer qu'eux, et sans parler de la réelle main-mise sur le pouvoir mondial, ni de l'agenda mondialiste de Rocky et Rothschy (propriétaires de la planète Terre), se contrefoutent absolument, totalement et radicalement, du "vote" de quelques millions de gens, officiellement... appelés "citoyens" par la poésie de la démagogie propagandiste, mais officieusement nommés en coulisses, dans la réalité des salons et des loges, "individus et masses de classe inférieure".
Si vous pensez que ces réseaux laissent la direction de leurs affaires et intérêts entre les mains du "citoyen lambda" et au hasard d'un "suffrage universel", vous vous mettez le doigt dans l'oeil, et jusqu'à l'épaule !
Mais comme il faut bien amuser la galerie bétaillère, entretenir le mythe démocratique, l'illusion du choix, ceux qui possèdent réellement le pouvoir, organisent ici et là des "élections".
1° : Ils sortent de leur chapeau des candidats.
2° : Conditionnent le vote par leur mise en scène médiatique.
3° : Truquent les résultats aux 4 coins du monde. (La France y échapperait ?)
Le Français vote avec un à peu près et une naïveté qui s'apparente à faire de la chirurgie cérébrale armé de truelles et de tronçonneuses, le tout les yeux bandés. (Sans façon, merci, je passe mon tour !)
Non content de charcuter son pays, sa vie et son quotidien, d'amputer son avenir et celui de sa famille jusqu'à le réduire en bouillie esclavagiste, le Français considère ce répugnant principe qui a bousillé la France, et nous propulse pieds et poings liés vers l'enfer de la non-vie mondialiste, comme étant une "chance", un "privilège", plus grave encore, un "devoir".
Vous raconteriez ceci à des fous, ils refuseraient de vous croire !
La république est le système le plus diabolique et le plus néfaste qu'il soit donné d'imaginer !
Mais en France, on fait plus qu'imaginer, nous avons les pieds dedans, jusqu'aux babines ! En France, la république, on la subit, et on en crève !
Je ne me fais aucune illusion !
Je sais parfaitement que malgré l'arnaque du jour, le Français ne procédera à aucune remise en question de sa religion républicaine, mondialiste, anti-France, cette infâme organisation politique, contraire à toute logique et loi naturelle !
Quant à moi je répète " Vive le Roi ! "
(d'après Vigo Brenner)

samedi 5 mai 2012

Rien de nouveau depuis la pomme !
C'est toujours l'Homme qui veut décider...

(Piqué sur la page FB de Frère Maximilien)

La mie ou la croûte...?

Lorsqu'on vous met en face de deux alternatives politiquement intolérables, il est important de ne choisir aucune d'entre elles.
Et quand ce choix est présenté avec des arguments rivaux et des débats qui excluent de la discussion publique tout autre ensemble de possibilités, il devient un devoir de se retirer de ces arguments et de ces débats afin de résister à l'imposition de ce faux choix par ceux qui ont arrogé eux-mêmes le pouvoir de définir ces alternatives.
Cette position peut dans l'abstrait remporter aisément l'adhésion.
Mais quand elle s'applique à la prochaine élection présidentielle, elle risque d'être rejetée d'emblée. Car c'est une idée reçue que voter est la marque d'un bon citoyen, et ne pas voter un signe d'irresponsabilité.
Mais le seul vote ayant de la valeur est un vote qui ne peut être fait que contre un système qui offre le choix entre deux partenaires dans un débat idéologique, chacun ayant besoin de l'autre comme une cible. Dans une telle situation, voter n'est pas seulement voter pour un candidat en particulier, c'est également voter pour un système qui ne présente que des alternatives inacceptables.
La façon de voter contre le système est de ne pas voter.

" Gouverner ne consiste pas à flatter les passions des peuples, mais à s'appuyer sur leurs vertus " (Comte de Chambord, 9 octobre 1870)

vendredi 4 mai 2012

France, qu'as-tu fait de ton baptême ?

Voici un texte que je vous communique car il résume très bien les sentiments des catholiques et explique en partie leur choix pour le second tour de l'élection présidentielle prévue dimanche prochain.
"Moi la catho branchée, je dois rendre hommage à François Hollande et à Jean-Luc Mélenchon : grâce à leurs programmes, jamais depuis que je m’y intéresse – 1974, j’avais 11 ans ! – une campagne présidentielle n’aura autant concerné les préoccupations des catholiques.

mardi 1 mai 2012

C'est si simple !

Georges FRÊCHE (1938-2010) est un homme de gauche et un vieux routard de la politique. En février 2009, ce professeur honoraire d’histoire de droit romain à l’Université Montpellier I est enregistré par ses étudiants lors de son cours magistral (disponible sur youtube.com)
" Oui ! Ce que je vous dis, c’est l’évidence. Ah si les gens fonctionnaient avec leur tête ! Mais les gens ne fonctionnent pas avec leur tête, ils fonctionnent avec leurs tripes. La politique c’est une affaire de tripes, c’est pas une affaire de tête.