Une idée commune veut que les catholiques pratiquants, (intégristes ?) qui mettent en pratique le commandement "Croissez et multipliez", soient à la tête d'une famille nombreuse. Il semble que pour beaucoup de personnes, le fait d'être catholiques pratiquants implique de mettre au monde le plus grand nombre d'enfants possible. Or, ce n'est pas l'exacte vérité.
L’Eglise interdit-elle la contraception?
Ce que l’Eglise demande – au nom de la loi naturelle, en principe accessible à la raison humaine, même sans le secours de la Révélation, bien qu’en nos temps d’obscurcissement des intelligences, fort peu de personnes, y compris avec le secours de la Révélation, accèdent à une claire compréhension de ce point de la loi naturelle -, c’est de ne pas séparer les fins unitive et procréative de l’acte conjugal.
Le don des époux a, en effet, deux fins : l’augmentation de leur amour et la génération.
Cela ne veut pas dire que tout acte conjugal doit nécessairement être fécond, mais qu’il ne peut pas être délibérément fermé à la vie. C’est pourquoi l’Eglise prohibe la contraception artificielle (qu’elle soit physique comme avec un préservatif, ou chimique, comme avec la pilule).
Cette prohibition ne s’oppose pas à une légitime régulation des naissances.
Ce que l’Eglise demande – au nom de la loi naturelle, en principe accessible à la raison humaine, même sans le secours de la Révélation, bien qu’en nos temps d’obscurcissement des intelligences, fort peu de personnes, y compris avec le secours de la Révélation, accèdent à une claire compréhension de ce point de la loi naturelle -, c’est de ne pas séparer les fins unitive et procréative de l’acte conjugal.
Le don des époux a, en effet, deux fins : l’augmentation de leur amour et la génération.
Cela ne veut pas dire que tout acte conjugal doit nécessairement être fécond, mais qu’il ne peut pas être délibérément fermé à la vie. C’est pourquoi l’Eglise prohibe la contraception artificielle (qu’elle soit physique comme avec un préservatif, ou chimique, comme avec la pilule).
Cette prohibition ne s’oppose pas à une légitime régulation des naissances.
L’Eglise encourage, au contraire, les époux à une paternité et une maternité responsables (en particulier, il n’est pas souhaitable d’engendrer plus d’enfants que l’on ne peut en élever et ce nombre est différent selon les couples).
Mais cette régulation légitime ne peut se faire dans le cadre d’une totale fermeture à la vie de l’acte conjugal.
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